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Des lettres d’amour de JFK à sa maîtresse suédoise mises aux enchères

vendredi 7 mai 2021 par Charles

Dans des lettres manuscrites écrittes entre 1955 et 1956, John Fitzgerald Kennedy revient sur son idylle passionnelle avec Gunilla von Post, indique CNN.

© - / AFP FILES / AFP
Par LePoint.fr
Publié le 07/05/2021 à 03h31
Ce sont des révélations qui ne manqueront pas d’attirer l’œil de nombreux acheteurs curieux. Comme le rapporte CNN, des enchères se tenant à Boston vont mettre en vente une série de lettres d’amour, écrites à la main par l’ancien président américain John Fitzgerald Kennedy à l’attention de sa maîtresse suédoise, Gunilla von Post. Rédigées entre 1955 et 1956, ces manuscrits intimes sont antérieures à son mandat à la Maison Blanche mais ont été écrits après son mariage avec Jackie Kennedy, en 1953.

Les enchères de cette collection de huit pages, qui comprend une lettre complète et deux messages partiels, débuteront à 30 000 dollars, soit près de 25 000 euros, indique CNN. Celui qui était alors sénateur du Massachusetts fait savoir à Gunilla von Post qu’il est « impatient » de la retrouver et va même jusqu’à la qualifier de « merveilleuse » dans une de ces lettres. Si leur rencontre date de 1953 en France, à Cannes, leur édile n’a débuté qu’en 1955, année durant laquelle l’ancien locatoire de la Maison Blanche et sa maîtresse passer une semaine de voyage en Suède.

De son côté, la maison de vente aux enchères fait savoir que « les efforts déployés par John Fitzgerald Kennedy pour mettre fin à son mariage et amener Gunilla von Post aux États-Unis » ont été « contrariés par son père, ses ambitions politiques et la sensibilité mutuelle de John Fitzgerald Kennedy et Gunilla von Post à la fausse couche subie par Jackie Kennedy, en 1955 ». Mais leur idylle prendra une toute autre tournure.
Kennedy attristé du mariage de von Post
Dans une lettre datée de février 1956, le futur président américain est attristé d’apprendre le mariage de sa maîtresse, avec un propriétaire foncier. « Je dois dire que j’ai été triste d’apprendre qu’après tout, vous ne venez pas aux États-Unis et vous épousez un agriculteur » écrit-il, semblant regretter cette union. « Si vous ne vous mariez pas, venez aux États-Unis comme j’aimerais vous voir. J’ai passé un moment merveilleux avec vous l’été dernier. C’est un souvenir brillant de ma vie, vous êtes merveilleuse et vous me manquez » ajoute John Fitzgerald Kennedy dans sa lettre, la dernière à destination de Gunilla von Post.


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