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La First Lady met en garde les usagers de la route contre Malia

Michelle Obama taquine ses filles

mercredi 8 avril 2015

Invi­tée ce lundi dans l’émis­sion Live ! With Kelly and Michael, Michelle Obama s’est payé la tête de ses filles Malia et Sasha.

Après la publi­ca­tion de photos de famille et d’un joli cliché du couple prési­den­tiel ce week-end, Michelle Obama, 51 ans, a encore fait parler d’elle lundi. L’ener­gique First Lady, très impliquée dans sa fonda­tion Let’s move !qui lutte contre l’obé­sité, a tenu à préve­nir ses conci­toyens d’un nouveau danger : près d’un an après qu’on lui a offert une voiture, Malia, 16 ans, est auto­ri­sée à conduire à l’ex­té­rieur de la Maison Blanche.

“Elle a toujours eu une sécu­rité à côté d’elle, mais pour apprendre à conduire, elle doit conduire seule.” a expliqué Michelle Obama après sa plai­san­te­rie, vite pardon­née lorsqu’elle a raconté être restée sans réponse quand Malia lui a demandé des conseils pour se garer. Et pour cause : la première dame n’a plus tenu un volant depuis sept ans.

Pas vrai­ment la vanne dans sa poche, Michelle Obama a égale­ment évoqué le quoti­dien avec ses deux filles : des ados ordi­naires, râleuses et sarcas­tiques. “Quand elles deviennent ronchon je leur dis qu’elles ressemblent à leur père.” Et lorsque les anima­teurs, Kelly Ripa et Michael Stra­han évoquent le clas­se­ment de Malia et Sasha dans le top 25 des ados les plus influentes, Michelle fait semblant de trou­ver ça absurde : “Je ne sais pas pourquoi elles figurent dans cette liste, elles ne sont pas influentes, elles se contentent de vivre ici. Elles n’ont rien fait de spécial pour ça.” Or, on le sait, en plus d’être les jolies descen­dantes du charis­ma­tique couple prési­den­tiel, les deux filles ne rechignent jamais à s’im­pliquer dans les missions cari­ta­tives avec leurs parents.

Mais si elle les taquine beau­coup, Michelle Obama est aussi fière de sa progé­ni­ture. Elle assure ainsi que Malia est assez mûre désor­mais pour voler de ses propres ailes, notam­ment grâce à une éduca­tion très surveillée : “Nous avons toujours eu des règles. Pas d’écrans ni de télé­phones pendant la semaine. Main­te­nant Malia est plus vieille, elle est presque indé­pen­dante, je veux qu’elle soit prépa­rée pour ses études, où je ne serai pas là.”


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