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Les célébrités écossaises partagées entre "Yes" et "No" à l’indépendance

vendredi 12 septembre 2014

Sean Connery, 007 au service de l’indépendance - L’ancien James Bond ne s’en est jamais caché : il est un fervent partisan de la cause indépendantiste. A tel point qu’il arbore un tatouage Scotland Forever sur son avant-bras. L’indépendance est « une opportunité trop belle pour passer à côté », estime-t-il.
Crédits : AFP/ED JONES facebook twitter google + linkedin pinterest

Alan Cumming, « le pouvoir du "oui" » - L’acteur du film X-Men et de la série The Good Wife s’est engagé dans la campagne pour le « oui » aux côtés des leaders du camp indépendantiste. Très remonté contre Westminster, il est actif sur le terrain et sur son compte Twitter.
Crédits : AFP/Brad Barket

J.K. Rowling à l’école du "non" - Anglaise de naissance vivant à Edimbourg, l’auteure de la saga Harry Potter a donné 1 million de livres (1,26 million d’euros) à la campagne « Better together ». Défenseure du « non », elle s’inquiète notamment de la dépendance qu’aurait l’économie écossaise au pétrole.
Crédits : AFP/CARL COURT

Sir Alex Ferguson joue en contre - L’ancien manager de Manchester United, natif de Govan, un quartier de Glasgow, a versé 501 livres aux partisans du « non », dépassant d’une livre symbolique le seuil fixé par Alex Salmond pour les dons émanant du reste du Royaume-Uni.

Emma Thompson comprend, mais... - L’actrice, écossaise par sa mère, dit comprendre « la passion suscitée pour l’indépendance » mais déplore « la création de barrières dans un monde sans cesse plus petit et dans lequel nous luttons pour vivre tous côte à côte ».
Crédits : AFP/Cindy Ord

Susan Boyle, pas nationaliste - La chanteuse révélée par l’émission « Britain got talent » est fière de ses racines écossaises mais votera « non ». « Je ne suis pas nationaliste », explique-t-elle.
Crédits : AFP/TIZIANA FABI

Gerard Butler, plus si sûr - Grand partisan de la rupture, la star hollywoodienne a revu son jugement. « J’ai le sentiment que nous devrions nous rassembler plutôt que nous séparer », confiait-il en mai à Scotland Now.
Crédits : AFP/KEVORK DJANSEZIAN

Andy Murray hésitant - Le tennisman écossais n’a pas clairement pris parti pour ou contre l’indépendance. Il a néanmoins prévenu qu’il concourrait sous les couleurs de l’Ecosse aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro en cas de victoire du « oui ».
Crédits : AFP/JULIAN FINNEY facebook
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Elizabeth II, neutralité royale - La reine Elizabeth II n’a pas l’intention de peser sur le scrutin, selon le palais de Buckingham.
Crédits : AFP/Andy Buchanan


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